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 My friend unicorn, OH OH ♪ |pv : Daiki|

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Chine. A. Makino
Chine. A. Makino

Supérion


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My friend unicorn, OH OH ♪ |pv : Daiki| _
MessageSujet: My friend unicorn, OH OH ♪ |pv : Daiki|   My friend unicorn, OH OH ♪ |pv : Daiki| Icon_minitimeMar 11 Sep - 16:51

CHINE WITH DAIKI || My friend unicorn.
désoléée je suis pas encore à l'aise avec Chine. cey merdique haha. Non, je suis sérieuse, c'est nul, je suis désolée. J'ai jamais été douée pour commencer un sujet.
« Bon bon bon. On va faire notre patrouille quotidienne, bon c'est un peu plus tard que d'habitude mais hum. C'est que j'ai des choses à faire. Oui oui. Enfin bref.»

Chine prit une inspiration et scruta un à un ses agents, un air de capitaine Crochet avec les doigts sur le menton, cherchant un air d’intelligence, et se demandant lequel prendra-t-elle avec elle cette fois-ci. Elle voulait quelqu'un de beau, d'intéressant, de marrant si possible, aussi. Enfin, pas un coincé quoi. Ainsi elle arrêta son regard sur un homme dont elle ne se souvenait plus du prénom - vous savez, l'amour qu'elle porte pour ses subordonnés, hum -, mais dont le visage lui était agréable. Son choix était fait. Retournant sur ses pas, cherchant la liste que son supérieur lui avait donné, la liste qui contenait toutes les informations sur ses collègues - et leurs photos -. Posé sur le bureau le plus proche, elle le prit d'un trait.

« ... Daikiiiiii. Elle marqua une pose pour se retourner, fixant le regard de celui qu'elle désirait. Toi, tu viens avec moi. Les autres vous faites comme vous voulez, du moment que vous faites votre travail. »

Chine n'aimait pas patrouiller seule. Elle en profitait souvent pour faire connaissance avec un petit nouveau, ou un vieux, qui lui plaisait, qui lui semblait sociable et intéressant. Si en dehors du travail, Chine était cynique à en pleurer, elle tenait à son travail et y était malgré les apparences, très sérieuse.
La plupart des Supérions savaient quoi faire, Chine n'avait pas à expliquer le système de patrouille. Enfin, si, normalement elle devrait, d'ailleurs la première semaine de son poste en tant que Directrice-Adjointe, elle le faisait, mais à force, c'était vraiment chiant. Alors elle avait arrêté.
Sans attendre une minute de plus, elle sortit de la salle. Une fois sortie, sans se retourner une fois pour s'assurer que Daiki était toujours avec elle, elle marcha en direction du centre de Hajuko (oui je viens de décider que le bâtiment des Supérions était à Hajuko. J'ai pas vu quelque part qu'il était marqué où c'était, alors bon. Au pire c'est juste valable pour ce rp (a) (a)).

Après dix minutes, Chine était fatiguée. Non, plus exactement, elle voulait être fatiguée. Elle voulait s'arrêter, elle s'ennuyait. Il n'y avait jamais rien. La fatigue, c'était son alibi. Elle voulait une raison, quelque chose de quelconque. Normalement, quand on est Supérion, et surtout gradée comme la blanchette, dix minutes de marche, ça n'était rien. Chine mentait bien, trop bien, mais avec un peu de bon-sens, il était facile de la percer à jour ; ses mensonges n'étaient jamais très recherchés et avaient toujours une faille.
Un bar, c'était parfait.

« Dis, je suis fatiguée. »

Elle regardait son collègue avec un grand sourire, un sourire imposant. Deviner ce que tu pensais, Chine, c'était plus que facile.

« Reposons-nous un moment. En plus j'ai trop soif là. »

Ainsi, elle poussa la porte du Crimsy. Drôle de nom hum hum. Après un vague "bonjour", elle s'installa à une table collée à la fenêtre, le look du bar était assez vieux, et leurs serveurs aussi, mais bon, elle était rentrée, elle n'allait pas sortir.
Son subordonné s'était installé, elle le regarda avec un vague sourire. Alors, pourquoi as-tu décidé de devenir Supérion ? ; Tu t'entends bien avec tes camarades, j'espère ? Non, même pas.

« Naturellement, tu payes. C'est très mal vu de faire payer une belle femme, tu sais. Et puis j'ai rien sur moi. Sinon, tu prends quoi ? Pour moi une bonne bière belge, je pense qu'ils ont. »
(OUAIS UNE BELGE ET PAS ALLEMANDE DANS TON CUL LUDWIIIG)

Bien-sûr, elle n'était pas machiavélique. quoique. Si Daiki avait le culot de lui demander de payer, elle lui aurait dit qu'elle payerait plus tard, car elle n'avait effectivement pas son porte-feuille sur elle.

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Daiki Itô
Daiki Itô

Supérion


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My friend unicorn, OH OH ♪ |pv : Daiki| _
MessageSujet: Re: My friend unicorn, OH OH ♪ |pv : Daiki|   My friend unicorn, OH OH ♪ |pv : Daiki| Icon_minitimeSam 22 Sep - 23:00


Départ en patrouille… la routine depuis deux ou trois mois.
Les patrouilles se faisaient régulièrement, soit seul lorsqu’on voulait être discret pour coincer les rebelles d’Edione soit par groupe, apportant plus de sécurité aux agents. De plus, quand il n’y avait vraiment rien d’intéressant, parler avec ses collègues de travail rompait l’ennui qui pouvait s’installer lors des patrouilles.
Daiki avait pris l’habitude d’effectuer ses missions en compagnie de l’un de ses équipiers avec lequel il s’entendait très bien. A deux, ils s’étaient plus efficaces que s’ils étaient seuls. D’ailleurs, les deux amis devaient partir en ville. Mais avant même qu’ils aient pu sortir du bâtiment, un autre agent vint les prévenir que leur chef de secteur voulaient voir les Superions. Ils se lancèrent un regard interrogateur, puis haussèrent les épaules et suivirent leur guide jusqu’à une salle où d’autres collègues attendaient. Ils prirent place sur la ligne que formaient les autres et patientèrent comme tout le monde. Leur chef arriva quelques instants plus tard. Daiki se demandait pourquoi il les avait tous réunis. Son ami lui apprit que, en général, la demoiselle n’aimait pas trop travailler toute seule, donc elle prenait souvent un de ses subordonnés. Le jeune homme réprima un soupir. Il n’avait vraiment pas envie de partir patrouiller avec elle…
Même s’il s’agissait de son supérieur, il ne la connaissait pas plus que cela et ne savait vraiment pas sa manière de travailler. Il croisait les doigts pour ne pas être avec elle. La jeune femme prit la liste avec leur nom et probablement leur profil. Tout le monde attendait, presque impatient de savoir avec qui elle sera.
Daiki… le concerné resta neutre alors que dans sa tête, il jurait. Pourquoi lui? Il n’y avait pas assez de monde, non? L’agent dut quand même se résoudre à la suivre, contre son gré. Peut-être que patrouiller avec elle ne serait pas si terrible. Il ravala ses préjugés et attendrait la suite pour se faire une opinion d’elle.
Ils sortirent donc du bâtiment, entamant leur promenade dans la ville. Le jeune homme effectuait sa patrouille comme il avait l’habitude de faire, l’air décontracté même si au fond de lui, il était un peu tendu par la présence de son chef. D’ailleurs, cela pouvait se ressentir un peu puisqu’il ne parlait pas avec elle. Il préférait la suivre, attendant qu’elle lui adresse la parole, ce qui fut plutôt rapide. Au bout de dix minutes, la demoiselle se plaignit qu’elle était déjà fatiguée. Est-ce vrai? Difficile à croire… elle devait quand même avoir l’habitude de marcher longtemps si elle était chef Superion.
Daiki la suivit sans un mot. Elle voulait se reposer ou plus exactement boire un verre puisqu’elle se dirigeait vers un bar. Ils s’installèrent tous les deux à une table comme si de rien était, comme s’ils étaient venus en simples touristes. Le jeune homme resta perplexe. Était-ce un test ou une simple invitation à aller boire dans un bar? Il ne saurait le dire…
L’agent sourit d’une manière un peu agacée lorsque son chef lui apprit que c’était lui qui payait car il ne fallait pas faire payer les dames. Il haussa un sourcil mais ne fit aucun commentaire. C’était elle qui l’avait invité alors pourquoi c’était à lui de sortir son argent? Bon, il ne retint de faire la remarque. Après tout, il s’agissait de son chef. Mais il espérait que cela ne devienne pas une habitude, sinon il serait vite fauché.
Ne sachant toujours pas s’il s’agissait d’un test ou non, Daiki misa sur la prudence et prit comme boisson un diabolo grenadine. Une serveuse vint prendre leur commande avant de repartir au bar. Celle-ci finit par revenir avec ce qu’ils avaient demandé quelques minutes plus tard, déposant la bière devant Chine et le diabolo devant Daiki. Le jeune homme sirotait sa boisson tranquillement, n’osant pas parler. Être assis dans ce bar le rendait nerveux et mal à l’aise, se disant qu’il devrait être dehors à arpenter dans les rues. Pour lui, être assis là ne faisait pas partie de son travail.
Il n’empêche que, même s’il ne disait pas un mot, il l’observait malgré tout. Qu’est-ce qu’elle lui voulait? Simplement passer du bon temps ou le tester? Il n’aimait pas trop cette situation bien que son côté fêtard voulait profiter de cet instant. Mais ne sachant toujours pas ce qu’elle voulait exactement, il enchainait son envie de s’amuser, attendant la confirmation du test ou du simple plaisir, d’où son silence.
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Chine. A. Makino
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MessageSujet: Re: My friend unicorn, OH OH ♪ |pv : Daiki|   My friend unicorn, OH OH ♪ |pv : Daiki| Icon_minitimeMer 10 Oct - 17:19

CHINE WITH DAIKI || My friend unicorn.
Battement de cils, Chine le scrutait sans aucune discrétion.

« Tu as l'air bien pensif. »

Tu sais Chine, quand on est invité ainsi à boire par son supérieur, ben on pense, on stresse, et on se pose des questions. Enfin en général.
Mais il faut croire que Dieu avait oublié de donner à Chine le nerf de la nervosité quand elle est née. C'est ça, le loto de la vie.
Elle bu une gorgée, fit un soupir et déposa délicatement son coude sur l'extrémité du dos de son siège. Un regard par la fenêtre, encore un battement de cils, et enfin un soupir. Son regard semblait dire « On est bien, ici. » C'est vrai, elle était si bien, avec son siège si confortable, ses habits si chauds d'hiver qui donnaient une impression de sécurité, son amie la bière, et puis ce jeune homme devant elle. Elle était presque prête à laisser tomber son boulot de Supérion et de vivre sa vie en ne faisant que s'amuser, mais presque. Chine n'avait pas peur du changement, mais il y avait quelque chose qui la retenait. On ne sait quoi.

« Allez, t'inquiète, c'est pas pour te tester ni rien, c'est juste que les patrouilles, c'est généralement très chiant et y a rarement quelque chose. Donc voilà. »

Maintenant, il va te prendre pour une feignante. Oh, mais c'est ce qu'elle est.
Enfin, celui qui pensait que les patrouilles étaient amusantes se trompait, ou était fou.
Chine repris une gorgée de sa bière belge et marquait une pose. Un silence. C'est vrai que ce n'était pas juste avec ça qu'il allait se détendre.
Elle commençait elle-même à être agacée par ce silence. Si Chine était une personne festive et joyeuse d'une façon bien à elle, elle détestait quand l'ambiance devenait pesante. Ca lui donnait l'impression que sa compagnie n'était pas bonne, et pour la blanchâtre, ça, c'était vraiment une insulte. Elle faisait tourner une mèche de cheveux autour de son index, elle faisait souvent ça quand elle était préoccupée, mais ça lui donnait un drôle d'air.

Elle continuait à siroter sa bière et remarqua alors une bande de voyous en cagoule et tout d'environ quatorze ans par la fenêtre. Et l'instinct de Chine, il ne trahit pas, ou presque pas.

« Ah bah tiens. Tu vas me montrer si tu es un Supérion. Mais genre, un vrai de vrai, tu vois ? Comme moi. »

Elle ne quittait pas des yeux la bande qui se trouvait dehors, à environ deux mètres. Un petit sourire s'installa sur son visage, elle voulait voir de quoi Daiki était capable, ou du moins s'il savait s'y prendre avec toutes sortes de personnes. C'étaient pas des policiers, mais dans la vie, il faut savoir s'entraider.
La vitre était fine et bien nettoyée, il était facile de voir au dehors. Soit.
Bingo.

« Attrape-moi ces enfants, et engueule-les. »

Chine dégageait en son être un absolu de force et de courage que peu osaient defier, mais elle avait toujours détesté les enfants, elle les trouvait ennuyeux, gamins et insupportables. Aussi, quand elle devait en arrêter un -- ce qui n'arrivait pas souvent, mais soit -, elle n'avait aucune pitié envers celui-ci.
Les gamins qu'elle scrutait depuis tout-à-l'heure courraient à présent, de la nourriture sous les bras, ils étaient déjà loin, mais ils courraient comme des tortues. Enfin, ça n'était pas comparable à de vrais sportifs. Si Daiki réagissait vite, il pouvait les rattraper.
Bon, je vous accorde qu'arrêter des enfants en flag n'était pas un boulot de Supérion, mais c'était juste pour l'observer.


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Daiki Itô
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MessageSujet: Re: My friend unicorn, OH OH ♪ |pv : Daiki|   My friend unicorn, OH OH ♪ |pv : Daiki| Icon_minitimeVen 12 Oct - 21:47

Le silence devenait pesant.
Daiki n’osait toujours pas parler…
Certes, il n’avait pas très envie de discuter avec son supérieur. Il n’empêche que rester silencieux ne lui plaisait pas non plus. Le jeune homme cherchait du regard quelqu’un à qui parler, quelqu’un qui pourrait l’aider à s’échapper de cette situation ennuyeuse. Mais il ne connaissait personne. Le visage de chaque personne qu’il observait ne lui disait absolument rien. Le Superion soupira et se remit à siroter son diabolo grenadine d’un air las, soufflant de temps à autre dans sa paille pour produire des bulles.
Cette journée promettait d’être franchement lassante. Daiki jeta un coup d’œil à la demoiselle lorsque celle-ci l’avertit qu’il ne s’agissait pas d’un test. Le jeune homme haussa les épaules. Ça n’avait plus vraiment d’importance maintenant… à la limite, il aurait préféré avoir affaire à un examen. Au moins, il serait occupé à faire attention aux moindres de ses gestes et de ses paroles pour ne pas se faire recaler. Mais là, c’était vraiment plat…
Daiki soupira une nouvelle fois. Bon puisqu’il ne s’agissait pas d’un test, autant un profiter un peu. Ce n’est pas tous les jours qu’on a le droit aux bars et aux cafés pendant ses heures de travail. La table à côté de la leur était vide. Il en profita pour chiper la carte et regarda rapidement s’il y avait des glaces. Il y en avait quelques-unes mais rien d‘intéressants au niveau du goût. Il s’agissait des parfums basiques. Ce n’était pas qu’il n’aimait pas ce genre de glace, juste qu’il aimait goûter à des choses moins habituelles. Daiki se décida tout de même à en prendre une, ayant envie de glace. Une coupe moka, pourquoi pas…
Le Superion s’apprêtait à appeler l’une des serveuses pour qu’elle prenne sa commande lorsque son supérieur lui lança un défi. Le jeune homme posa son regard la bande de gosses dehors puis revint sur Chine, l’air interrogateur.
Attraper des enfants? Cela ne faisait pas partie de son boulot! Il n’avait pas très envie de courir après des gosses malfamés juste pour satisfaire les désirs de mademoiselle. En revanche, lorsqu’il y réfléchissait, il avait plutôt intérêt à le faire. Désobéir à un ordre de son chef, même le plus stupide pourrait lui coûter son poste.
Daiki se leva donc avant de sortir du bar. Une fois dehors, il se dirigea vers la bande de gamin qui filait déjà loin. Le Superion ne se pressa pas vraiment. Cependant, ce n’était pas pour autant qu’il les perdait de vue. Il restait à distance pour ne pas se faire repérer dès le départ, et surtout, pour pouvoir les coincer plus facilement. De plus, le fait de les suivre de cette façon lui permettait de réfléchir à un plan.
Les gamins finirent par rentrer dans une ruelle. Le jeune homme les suivit bien entendu. Là, il les retrouva, cachant dans l’ombre des bâtiments, le visage découvert. Ils étaient cinq en tout. L’un de la bande avait dépouillé un vendeur de quelques biens. Rien de bien extraordinaire, mais cela suffisait aux autres ados pour le voir comme leur chef. Ce fut à ce moment-là que Daiki décida d’intervenir.
Il s’avança vers eux tout en les interpellant:

Eh les gars! Vous savez que vous n’êtes pas discrets!


Les gamins firent volte-face, choqué d’avoir été suivis. Pourtant, ils pensaient que personne ne les avait vus et encore moins pris en chasse. C’était un peu raté puisque Daiki se trouvait face à eux. De plus, ils se doutaient déjà qu’il n’était pas là pour les aider mais bien pour les arrêter. Le voleur cacha tout de suite ses biens dans son sac avant de donner un ordre, ou plutôt un semblant d’ordre. Il cria simplement, mais les autres surent immédiatement ce qu’il fallait les faire. Les cinq enfants s’enfuirent chacun dans une direction ce qui dérouta le Superion. Mais bien vite, Daiki reprit ses esprits et se mit à poursuivre l’un d’eux. Il ne choisit pas sa victime au hasard. Il ne pourrait pas les attraper tous en même temps alors il concentra ses efforts sur celui qui avait le butin.
Pour un gosse, il courait plutôt vite, mais il n’arrivait pas à la cheville du jeune homme qui était sportif. De plus, il était entrainé à poursuivre des rebelles sur de longues distances. Il avait donc une bonne endurance. Cet enfant n’avait aucune chance face à lui.
Celui-ci tourna rapidement dans une autre rue, Daiki sur ses talons. Seulement, en arrivant dans cette dite-ruelle, il tomba sur un cul-de-sac. Et le garçon avait disparu. La Superion en resta perplexe, regardant le mur au fond de la rue. Où était passé cette saleté de gosse? Il n’y avait rien pour se cacher excepté ce… container?
Daiki sourit en le voyant. N’importe quel fuyard serait faufilé à l’intérieur pour échapper à son poursuivant. C’était trop stéréotype que pour passer à côté de ce détail. Le jeune homme chercha rapidement du regard quelque chose sur laquelle il pourrait monter pour avoir une meilleure vue de l’intérieur du container. Il trouva un vieux climatiseur assez archaïque (allez savoir qu’est-ce ce genre d’objet faisait dans une ville aussi moderne) et le traina jusqu’à la grande boite métallique. Daiki monta ensuite sur celui-ci et ouvrit le couvercle. Et comme par hasard, le gamin s’y trouvait!
Le garçon poussa un cri de surprise lorsqu’il fut découvert alors que le Superion affichait un sourire triomphant. Il lui demanda de sortir mais l’adolescent refusa de lui obéir. Puisque c’était comme ça, il allait employé la manière forte. Le jeune homme plongea à demi à l’intérieur du container et agrippa le gosse par le col avant de l’extirper du là assez violent. Bien sûr, l’enfant tenta de s’échapper en se défendant du mieux qu’il pouvait. Mais face à quelqu’un d’entrainer comme Daiki, il n’avait aucune chance d’en sortir vainqueur. Il fut rapidement maitrisé et couvert de plusieurs bleus!
L’agent lui arracha le butin des mains, puis le fit avancer droit devant lui, le forçant à marcher. Pour être sûr qu’il ne s’échapperait pas, il le tenait fermement par l’épaule. Ce fut de cette manière qu’ils retournèrent vers le lieu du crime.
Là, le jeune homme remarqua que le marchand attendait sur le pas de la porte de son magasin que la police arrive. Daiki se dirigea vers lui avec son prisonnier. Il tend le sac au vendeur en lui expliquant que ces biens étaient à l’intérieur du sac. L’homme le remercia pour son aide et espérait que ce garnement soit puni pour ce qu’il avait fait.
Le Superion lui certifia qu’il serait jugé pour ce vol. Il n’empêche que ce n’était pas de son ressort. Il attendit donc la police en compagnie du gamin. Il lui posa rapidement quelques questions sur son identité, juste pour savoir à qui il avait affaire. Pour le reste, les agents de sécurité s’en chargeraient. Daiki apprit que ce garçon s’appelait Soka, qu’il avait quatorze ans et qu’il n’habitait pas très loin.
La police ne tarda pas à arriver, se renseignant auprès de l’agent de Superion qui lui résuma la situation. Le policier embraqua ensuite le garçon avant de repartir pour le commissariat. Une fois cette petite mission finie, le jeune homme revint au bord et prit place à la table où l’attendait son supérieur.
Il la regarda un instant sans rien dire avant de lâcher:

Alors?
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MessageSujet: Re: My friend unicorn, OH OH ♪ |pv : Daiki|   My friend unicorn, OH OH ♪ |pv : Daiki| Icon_minitime

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